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Une collection documentaire
présentée par
LA CAISSE DE DÉPÔT ET PLACEMENT DU QUÉBEC
avec la collaboration de
BNP PARIBAS
Et la participation
Musée des Beaux-Arts de Montréal
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Film documentaire
52 minutes
Une production
AIDIA
Avec la collaboration financière de
AIDIA
Fondation de la Chenelière
Musée des beaux arts de Montréal
Télé-Québec
Une initiative de
Jean-Luc Murray
Danielle Champagne & Michel de la Chenelière
Produit et réalisé par
Jean-Sébastien Ouellet
Recherche
Emanuele Setticasi
Direction photo et caméra
Jérôme Laflamme
Caméra supplémentaire
François Messier-Rhault
Son
Martin Desranleau
Frederic Baune
Musique
Jean-Sébastien Ouellet
Montage
Jean-Sébastien Ouellet
Louis-Martin Paradis
Habillage graphique
LINO
Photographies
Martin Gros
Prix Gémeaux 2015
Nomination Meilleure émission ou série documentaire art et culture de L’Art fait du bien 1
Diffusion
FIFA, Montréal mars 2014
(Festival International du Film sur l’Art)
Télé-Québec
Octobre 2014
La Fabrique Culturelle – visionnement intégral en continu et gratuit
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Comment la découverte, la pratique et l’amour des arts visuels peuvent-ils faire une différence dans la vie des gens ? Voilà l’essentiel de la démonstration du documentaire L’art fait du bien, mettre en évidence un fait observé maintes fois : l’art peut être déterminant et faire le bien dans le parcours d’une vie. Le contact avec l’art laisse très souvent une trace dans la tête et dans le cœur des gens. L’art laisse des traces indélébiles, parce que l’art fait réfléchir, l’art humanise, l’art enrichit, l’art fait rêver, l’art émerveille, l’art fait plaisir, l’art soulage, l’art apaise, l’art humanise, l’art réunit ! L’art fait du bien, c’est la rencontre avec sept personnages forts d’un parcours de vie unique, sept histoires réelles qui expriment à leur façon comment les arts enrichissent leur vie : Hugues (atteint de la maladie d’Alzheimer), Gilles (travaille auprès des gens démunis), Dany (jeune dandy excentrique dans notre société moderne et excitée), France (atteinte de trisomie 21), Sophia (visage multiethnique, 12 ans, émigrée il y 6 ans à Montréal, née au Zimbabwe d’un père belge et d’une mère hondurienne), Véronique (souffrantde troubles alimentaires graves) et la famille Boivin (famille québécoise moderne de 3 enfants vivant en banlieue). L’art fait du bien, c’est la rencontre de chacun de ces personnages en entrevue et en observation chez eux, dans l’intimité de leur univers. En complément visuel, L’art fait du bien se glisse dans un style d’observation documentaire dans leur parcours de découverte etde pratique des arts visuels, dans le cadre de leurs visites et de leur participation aux ateliers de création au musée et, pour les cas de Gilles, Hugues, Sophia et France, dans la pratique des arts visuels à l’intérieur de leur groupe d’intervention sociale. Parallèlement à la rencontre des personnages principaux, L’art fait du bien fait une analyse plus approfondie de la situation par l’entremise d’entrevues avec différents experts et praticiens. Intervenants sociaux (art-thérapeute, orthopédagogue, intervenant en réinsertion au travail, professeure d’art et psychologue),experts (scientifique universitaire, artiste impliqué dans le milieu de l’éducation, art-thérapeute et professeur d’art), témoins privilégiés (directrice de musée, éducatrice, guide bénévole et agents de sécurité) et artistes de renom (artistes visuels, auteur, chanteur, chorégraphe et cinéaste) apportent leur regard expert et unique sur l’influence de l’art chez les gens et dans notre société. Film chorale articulé principalement autour des personnages principaux, L’art fait du bien se veut une ode à la vie, à sa beauté, à sa richesse et à la sensibilité des gens. La couleur, la saveur et l’énergie du documentaire sont à l’image des gens qu’on y rencontre : simples, dynamiques, vivants, sensibles et inspirants. L’art fait du bien, c’est la démonstration hors de tout doute de l’apport de l’art dans la vie des gens. C’est également la preuve par le geste qu’un film documentaire peut aussi faire du bien.
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